Paris-Capitale, du steampunk à la Feldrik !

(c) Feldrik Rivat

Paris-Capitale est une aventure qui se déroule 20 ans après La 25e Heure et Le Chrysanthème Noir, dans un Paris rétrofuturiste de 1910.

Cette fois vous êtes dans du steampunk tout ce qu’il y a de plus baroque, avec des gratte-ciels de 1700m d’altitude au-dessus de la tour Eiffel et des morts qui reviennent à la vie…

… mais pas à n’importe quelles conditions !

Extrait (chapitre 6) : ici

« un voyage imaginaire en plein coeur de Paris »

Couverture :

(c)Feldrik Rivat

Pour la première fois dans le cadre de mes projets littéraires, j’ai franchi le pas de réaliser la couverture ainsi que le graphisme (police comprise). Couverture rigide, tranches noires, signet : l’objet vous plonge déjà dans une ambiance à la fois steampunk et art déco…

4ÈME DE COUVERTURE :

Résumé :

Il est dit que maintenant, à Paris, les tours Cuprifères grimpent jusqu’aux cieux. Que la ville flotte pour moitié dans le vent, portée par des ballons de verre. Que les morts reviennent à la vie. Il est dit que maintenant, à Paris, les savants d’antan conversent avec les savants d’aujourd’hui. Que les artistes, les penseurs, les ingénieurs de tous les temps travaillent à construire le monde de demain. Il est dit que maintenant, à Paris, des messagers d’argile soufflent la parole des anciens avant de tomber en poussière.

Les rumeurs volent, depuis les cercles polaires jusqu’aux sables libyens, mais qui, en vérité, pourra vous dire ce qui se trame à Paris-Capitale ?

Entre uchronie et utopie, Paris-Capitale quitte cette fois les rives de l’Histoire pour celles de l’imaginaire…

OÙ LE TROUVER ?
  • Version papier : vous pouvez le commander dans toute bonne librairie
  • Version numérique : disponible sur votre support habituel (exemple)
  • Ou directement chez les éditions de l’Homme Sans Nom
Tiré à part :

Une excellente porte d’entrée pour découvrir cet univers est de vous procurer le numéro 205 de la revue canadienne Solaris, et de lire ma nouvelle Le Contrat Antonov-201. Ce texte a été mis à l’honneur, en recevant le prix Joël-Champotier de la meilleure nouvelle francophone (remis aux Utopiales en 2017).