Le Chrysanthème Noir, seconde enquête de ce diptyque fin XIXeme
Toujours plongé dans ce Paris de la fin du XIXe siècle, vous allez cette fois assister à la mise en lumière de cette organisation mystérieuse, Le Chrysanthème Noir. Qui sont-ils ? Quels sont leurs objectifs ? Leur méthodes ? Et quelle est cette révolution qu’ils promettent à qui veut les entendre ?
Plus de sciences
Ce second volet, qui fait suite à La 25e Heure, plonge aussi plus profondément dans les sciences et techniques de l’époque, avec l’émergence du pan rétrofuturiste et steampunk du projet. Cette fois, le Paris historique est en arrière-plan, laissant s’opérer un glissement vers cette uchronie promise. Le Chrysanthème Noir, c’est l’histoire et la naissance d’une utopie, le pourquoi et comment Paris a basculé vers autre chose…
« Le Chrysanthème Noir, c’est l’histoire et la naissance d’une utopie »
(pour qui veut plonger en 1889, il suffit de télécharger la revue de vulgarisation
scientifique La Nature du chimiste et aéronaute Gaston Tissandier : voyage dans le temps assuré !)
Articles :
– Le Chrysanthème Noir en cours d’écriture
– Le Chrysanthème Noir en quelques citations
– Le nécrophone de Thomas Edison
– Le Chrysanthème Noir en avant-première !
Couverture :
Où le trouver ?
- Version papier : vous pouvez le commander dans toute bonne librairie
- Version numérique : disponible sur votre support habituel (exemple)
- Ou directement chez les éditions de l’Homme Sans Nom
4ème de couverture :
« Paris, ville lumière, goûte en cette fin de XIXe siècle à la modernité. Réseaux à air comprimé, lignes téléphoniques, service de poste pneumatique : la capitale envisage d’aller plus loin encore et d’électrifier ses éclairages publics, de construire sa première ligne de métro, et… de révolutionner votre manière de concevoir la vie et la mort.
Enfin, le projet ne faisait pas partie des cartons du président Sadi Carnot. Mais l’éclosion d’une drôle de fleur, au sortir de cet hiver de 1889, pourrait bien venir bouleverser la vie des Parisiens… Le Chrysanthème Noir. Après avoir fleuri dans les cimetières de la ville, il frappe de son logotype le nom d’une société qui offre aux gens de biens et créateurs de ce monde un bien curieux marché… »